Sans promessesLe pays?Quelle promesseD’être iciSans les brutalités?Les voilà à nouveauAvec le visageDu hurlement Couché sur le solJe cherche les courbes des chevauxGlissant dans l’airLe long des parois ouvertes par les couleursDe la terre qui respire Bord du monde, fin du mondeAube devant leurs yeuxEau fraîche continuellement agitéeRépandue sur les membresSur la chairSur le solEn signe d’autre choseChaque vague a un temps qui heurte le suivantLe sens est dévoré par le sonUne fois, deux fois, trois fois…J’entrecroise les surfacesJ’extrais un nombre infini de foisLa racine transparente et sans limites Suivant les lignes du railLe paysage décédéVends sa lumière